Les mathématiques ont toujours été un éternel casse-tête. Depuis son invention jusqu’à ce jour, cette science demeure toujours un mystère pour bon nombre d’êtres humains, et un supplice pour les étudiants. Etant une matière obligatoire dont on ne se débarrasse qu’à notre entrée à l’université (et encore ça dépend de la spécialité choisie), il n’y a malheureusement pas grand-chose à faire pour y échapper et on se retrouve à galérer avec les innombrables formules et les lois interminables dont l’écriture est digne d’un code à décrypter dans les films d’espionnage.
Bien évidemment, qui dit mathématiques dit calculs, vous savez, ces opérations que nous avons appris en arithmétique, qui avaient si bien commencées avec les bâtonnets pour apprendre à compter jusqu’à évoluer en un palpitant calcul mental tellement les choses vont vite en maths, et bien sûr, pour palier à ce problème, on eût la brillante idée de mettre au point un outil capable de réaliser n’importe quelle sorte de calcul en une fraction de seconde, qui n’est autre que la calculatrice.
La conception commune aux calculatrices :
Les calculatrices, programmables ou classiques, bien qu’il y ait plusieurs marques, ont généralement la même conception de clavier, cela veut donc dire que, en bas, vous avez les boutons pour les calculs basiques : de la pure arithmétique. Vous avez donc les chiffres de zéro à neuf et, à leur droite, l’ensemble des boutons destinés aux différentes opérations mathématiques : addition, soustraction, division etc. Et, juste au dessus, l’ensemble des boutons que vous commencez à utiliser dès votre entrée au collège, pour les opérations un peu plus complexes tels que le calcul du cosinus, sinus etc, quand vous pénétrez dans le monde des radians et que tout devient confus.
Le guide pratique :
Alors, si donc vous aussi vous devez réaliser des calculs interminables, que ça soit lors d’un terrible examen ou, dans une ambiance plus zen mais pas moins ennuyeuse, pour un devoir maison, et que dans ces calculs, vous devez, par pur hasard, trouver la valeur d’un nombre quelconque à la troisième puissance, ou si, dans une autre situation, vous vous retrouviez en face d’une équation du troisième degrés et, comme son nom l’indique, celle-ci contient obligatoirement un x cube (x à la puissance 3, autrement ça ne serait pas une équation de troisième degrés), n’ayez crainte, la méthode est très simple :
- Vous vous souvenez de la partie supérieure de la calculatrice bourrée de touches peu rassurantes dont nous avons parlé plus haut : au milieu de ce chaos opérationnel, repérez la touche comprenant un x et un y, une sorte de x^y, en français ça donne x à la puissance y.
- S’il s’agit d’un calcul, composez d’abord le chiffre en question puis, appuyez sur la fameuse touche que nous venons de vous révéler : vous verrez sur l’écran apparaitre votre chiffre, suivi de ce qui ressemble à cela « (x^-1) », ne paniquez pas, vous n’aurez plus qu’à entrer le chiffre trois. C’est ainsi que le mystère du x cube est résolu ! A vos calculettes.